Bébés influenceurs et réseaux sociaux interdits aux mineurs de moins de 16 ans, le projet de loi

Bébés influenceurs et réseaux sociaux interdits aux mineurs de moins de 16 ans, le projet de loi

8 juin 2024 Non Par Valantine
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L’inquiétude concernant la protection des mineurs en ligne est réelle et bipartite. Ceci est démontré par ddl par titre « Dispositions pour la protection des mineurs dans la dimension numérique ». Il a été archivé dans Palais feutre et lavinia Je ne l’ai pas vu (FdI), de la Commission bicamérale sur l’enfance et l’adolescence, selon le député de Correspondre démocratique marianne madia qui a présenté une initiative comparaison dans le Caméra du députés. Un projet de six articles, soumis par AdnKronos, faisant référence à l’âge des utilisateurs des réseaux sociaux et la gestion du travail et de l’argent « gagné » par les bébés influenceurs.

La publicité (inquiétante) qui explique aux parents pourquoi ils ne devraient pas publier de photos de leurs enfants

Réseaux sociaux interdits aux mineurs de moins de 16 ans. La répression contre les bébés influents dans un projet de loi

En premier lieu l’obligation des administrateurs des plateformes sociales de vérifier l’âge de ceux qui s’inscrivent et interdisent moins de 16 ans si l’enregistrement est effectué sans autorisation et surveillance parentales (en Italie aujourd’hui est en vigueur la limite d’âge de 13 ans, fixée par les plateformes elles-mêmes : cela signifie qu’elles ne pouvaient pas être utilisées auparavant). L’article 3 dispose que « sont nuls les contrats avec des prestataires de services de la société de l’information conclus par des mineurs de moins de 16 ans. En outre, ils ne peuvent constituer une base juridique adéquate pour le traitement des données personnelles. La charge de la preuve incombera aux prestataires de services. que les contrats ont été signés par des personnes âgées de plus de seize ans. Ou par des mineurs de moins de 16 ans avec l’assistance de ceux qui ont la responsabilité parentale ou est son tuteur.

Mère diffusant en direct avec son fils sur un smartphone avec un anneau lumineux à la maison

«Enfants utilisés pour la promotion de produits et services»

L’article 5 du projet de loi fait spécifiquement référence Le phénomène des bébés influenceurs.. Ces « enfants qui à partir de trois, quatre, cinq ans « Ils sont utilisés pour promouvoir des produits et des services – souvent destinés à d’autres pairs – via de grandes plateformes de partage de vidéos et de réseaux sociaux. »

Un phénomène paradoxal, si l’on tient compte du fait que pour ouvrir un profil il faut avoir au moins 13 ans (et jusqu’à 14 ans il faut la surveillance d’un adulte).

Le projet de loi prévoit que « la diffusion non occasionnelle de l’image d’un mineur de moins de seize ans au travers d’un service de plateforme en ligne » est soumise à « l’autorisation de la personne qui exerce l’autorité parentale ou qui en est le tuteur ». Ainsi que la direction provinciale du travail », dans le cas où la diffusion de l’image du mineur produit ou est destinée à produire « des revenus directs ou indirects supérieurs à 12 mille euros par an ».

Au-dessus de 12 000 euros, les revenus vont sur le compte courant du bébé influenceur

Par ailleurs, « lorsque les revenus directs et indirects provenant de la diffusion du contenu » dépassent 12 000 euros par an, les revenus perçus « seront déposés sur un compte courant enregistré au nom du protagoniste mineur du contenu ». ET Ils ne pourront en aucun cas être utilisés par ceux qui exercent l’autorité parentale sur le mineur.. Sauf cas d’urgence et dans l’intérêt exclusif du mineur, avec autorisation préalable de l’autorité judiciaire pour mineurs compétente. »

Si être bébé influenceur est désormais un métier, il devrait l’être au moins sous réserve des règles déjà en vigueur aujourd’hui dans notre pays pour le travail des enfants, comme les publicités hors ligne.

Le sixième et dernier article de la proposition établit le numéro d’urgence pour les enfants, le 114.

La loi française sur les bébés influenceurs…

Le projet de loi reflète certaines mesures contenues dans la législation française qui, dans le détail, réglemente les horaires de travail des petites stars du web, avec des protections similaires à celles des enfants modèles et acteurs. Il prévoit que les revenus seront versés sur un compte courant au nom des mineurs et gelés jusqu’à l’âge de 16 ans. Mais le droit français parle aussi du droit à l’oubliqui pourra être demandé par l’enfant : à ce moment-là les plateformes seront obligées de supprimer tout contenu.

…et interdiction d’accès aux réseaux sociaux pour les mineurs français

La France est particulièrement agressive dans la lutte contre le pouvoir excessif des réseaux sociaux dans la vie des jeunes. Le résultat des travaux de la commission d’experts chargée il y a un an de proposer des solutions vient d’être présenté à l’Elysée. Face à des résultats alarmants, les règles proposées par l’équipe du psychiatre Amine Benyamina sont strictes. Ils prévoient une interdiction absolue des écrans avant de terminer 3 ans. Il interdiction de téléphone portable avant 11 ans. Il interdiction de l’Internet avant de 13 ans. Il interdiction d’accès à sociale avant de 15 ans. A partir de 15 ou 18 ans accéder juste ici les réseaux sociaux « éthiques »à l’exclusion des différents Instagram, Tiktok, Snapchat et Telegram.

La protection des mineurs, des réseaux sociaux aux sites pornographiques

Les mesures politiques visant à protéger les mineurs en ligne ont été différentes ces derniers mois, même s’il est très difficile d’arrêter un phénomène par nature imprévisible. Mennuni mentionne le récent décret Caïvanqui impose aux administrateurs de sites pornographiques de vérifier l’âge de majorité de leurs utilisateurs et de demander à l’Agcom d’identifier les solutions les plus adaptées.

L’objectif « est de réglementer l’utilisation des réseaux sociaux par les jeunes également en Italie, pour contrer les nouvelles et insidieuses addictions à des contenus comme la cyberpornographie ou la violence ».

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